Fidèle à son habitude collaborationniste, M. Pratte oublie de mentionner les quelques 60 milliards de dollars que le Québec envoi à Ottawa chaque année en taxes et impôts, et dont une grande parti à servi à financer la prospection, la recherche et le développement des sables bitumineux d'Alberta. Et bien sur, pas un mot sur les centaines de milliards de dollars en déductions fiscale pour les pétrolières, payés à même nos taxes, provenant entre autre du Québec.
in reference to: André Pratte : Notre pétrole | André Pratte (view on Google Sidewiki)
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